A priori, peu se soulèveront pour dénoncer une telle affirmation. Une carence de sommeil réduit les capacités cérébrales, cognitives, la mémoire, la réflexion, ... donc augmente la probabilité d'échec, que ce soit à l'école ou durant les études.
Ces faits sont effectivement corroborés par des études sérieuses:
Dans sa dernière enquête, effectuée par l'institut Harris en mars 2014, la SMEREP confirme une tendance pérenne depuis de nombreuses années: les étudiants présentent une dette de sommeil.
Les raisons de cette dette de sommeil sont diverses: travail scolaire (30 % des sondés), la télévision (22 %) Internet (20 %).
Des phases insomniaques sont même reconnues par 38% des sondés.
Les étudiants présentent donc une "hygiène du sommeil" pour le moins perfectible.
Or cet état n'est pas sans conséquence sur leurs capacités intellectuelles.
En juin 2014, l'American Academy of Sleep Medicine publie une information corrélant le manque de sommeil et l'échec du passage au niveau d'étude supérieur.
"Researchers report that having trouble sleeping is as strong a predictor of falling grades as binge drinking or smoking marijuana."
La carence de sommeil est aussi annonciatrice d'échec que la marijuana ou des excès d'alcool.
La sophrologie propose des outils simples, rapides et efficaces dans la maitrise du sommeil, que ce soit dans l'organisation des nuits mais aussi dans le développement de capacités de récupération diurne (siestes, siestes-flash, pauses, ...).
Elle propose de même un panel d'outils visant à réguler le stress, lui-même facteur de perturbation du sommeil.
Vous pourrez retrouver divers articles à ce sujet dans le lien ci-dessous:
Plus particulièrement ces deux-ci:
Liens externes à ce blog:
medicine.net (relais de l'étude américaine)